Un célèbre penseur a dit à peu près ceci : « Si je veux faire de la coopération, je fais du jeu de rôle, pas du plateau ! »
Certes, c’est un point de vue qui se défend. A ancêtre commun, points communs. Lorsque Saint Gygax créa le jeu de rôle à partir d’un jeu avec figurines, se doutait-il qu’il venait également d’engendrer le jeu de plateau coopératif ?
Je ne suis certainement pas la seule à entendre autour d’une table : « Moi, je n’aime pas les jeux de dés … trop de hasard ! ». Sous-entendu possible : « Je ne peux pas exprimer tout mon art de la stratégie et cet élément non maîtrisable m’exaspère ».
Néophyte complète dans l’art du jeu, je n’ai été que tout récemment initiée dans ce domaine. J’avoue avoir été traînée les premières fois au Repaire, cercle des joueurs invétérés de la région annécienne. Mais là, quelques habiles gourous m’ont convertie au culte ludique. Or le baptême de tout jeu, c’est la règle. Mais c’est aussi son extrême onction (« dura lex sed lex« : la loi est dure, mais c’est la loi).
Et bien voilà, les premiers concurrents se sont lancés corps et âme dans l’aventure de ce Mow-gnifique (Tombo) concours. Je vous invite à faire comme les vaches regardant les loco-Mow-tives (Darkwan) : contempler ou lire ces jeux de Mow !!!