Witty Pong, vous connaissez ? Oui ? Mais là, on parle des règles originelles et en vidéo. Bruno vous explique tout et on a même filmé une petite partie. Le jeu se joue comme une « tournante » au Ping-pong avec une élimination directe des candidats.
Québec. Encore un jeu avec un nom de ville, c’est très courant en ce moment. Bon, celui-là, je l’attendais depuis longtemps, ayant pu jouer au proto à Cannes 2011. Christian Lemay, le responsable des éditions du scorpion masqué, nous avait d’ailleurs gentiment expliqué les règles en vidéo.
Il s’agit d’un jeu de placement d’ouvriers (et d’architecte ) qui propose de reconstruire la ville de Québec. Vous allez pouvoir ouvrir des bâtiments aux autres joueurs ce qui vous rapportera des points, mais en contre partie, ils auront droit à une action spéciale.
Le jeu s’articule aussi autour d’un principe de « majorité en cascade ». En effet, à la fin de chaque période, un décompte de points va avoir lieu dans cinq zones du plateau. Si vous êtes majoritaire dans une zone, vous pouvez déplacer la moitié de votre influence vers la zone suivante pour essayer de ravir la majorité une nouvelle fois, etc. Une mécanique bien sympathique, vous verrez…
Notons un détail d’édition important et novateur (oui, j’ose le dire) : le jeu propose une tuile pour mettre ses ouvriers disponibles et les distinguer des autres. Les étourdis ne pourront donc pas se tromper en prenant leurs ouvriers 😮 .
Tournay vous propose de reconstruire ses différents quartiers suite à l’attaque des Normands qui a eu lieu en 881. Chaque joueur va donc incarner une riche famille qui devra obtenir le maximum de points de prestige à l’aide de personnalités et/ou de bâtiments.
Un jeu rapide, environ 45 minutes, pour deux à quatre joueurs dans l’univers graphique de leur précédent jeu : Troyes.
Kahmaté, c’est le loisir de rejouer la coupe du monde de rugby sur plateau ou sur Ipad. Pour cela, deux pré-requis : avoir le jeu et connaitre les règles. Et là, je peux vous aider :
Il y a trois licences ipad à gagner (grâce à Id&al édition, merci à eux).